Retour vers la lumière (Kaldemar, paladin vindicte) [refusé]

Vous vous baladez sur les quais du port de Baie-du-butin, à présent ravagés par le cataclysme ayant eu lieu quelques mois auparavant. Si il y a bien une chose qui vous tourmente en ce moment, c'est le temps.

"Ouaip', y fait moche" dites vous dans votre barbe.
Cependant ce temps de chien n'a pas pour autant refroidi les marins, qui titubent déjà alors que le soleil sur le point de se coucher.
D'ailleurs, l'un deux vous tire de votre rêverie en chantant un poème qui, si il n'avait pas été chanté par un troll, aurait pû être agréable à entendre :

"Il pleuwe dans mon coeuw
Comme il pleut suw la ville;
Quelle est cette langueuw
Qui pénètwe mon coeuw?"

Vous n'en savez strictement rien de cette langueur, mais ce qui est sûr c'est que ce troll va passer un sale quart-d'heure...


***Quelques instants plus tard***

Heureux d'avoir violemment savaté le troll, vous ouvrez la porte de l'auberge lorsque soudain, par l'appel d'air, une feuille clouée à la porte s'accroche à votre visage. Décidement ce n'est pas votre jour. Enervé, vous regardez l'affiche à la recherche du nom de l'auteur, histoire de le savater violemment lui aussi...

LIRE L'AFFICHE


Alors que vous finissez de lire l'annonce, un silhouette encapuchonée s'approche de la taverne, ses longues oreilles et ses yeux luisants indiquent qu'il s'agit là d'un elfe.
Et le soleil vien de se coucher...

* Après avoir vu un sombre idiot frapper un pauvre troll puis rentrer dans une taverne, Sanivar arriva devant l’affiche détrempée qui pendait lamentablement sur la porte de l'auberge. *

C'est quoi ce torchon ? Il ne s'est toujours pas fait étriper celui là ?... Le monde est vraiment injuste...

* La démoniste arracha le papier de la porte avant de le carboniser *


* Elle leva les yeux au ciel *

Il peut toujours attendre...


* Et elle s'éloigna *